Le nettoyage des pièces anciennes

Sujet: Le nettoyage des pièces anciennes Ven 19 Mar 2010 - 21:27

Bonjour à tous.

Je possède plusieurs pièces antiques, de l'époque romaine, et de l'époque médiévale.

En leur état, elles sont souvent difficilement lisibles, et donc difficiles à interpréter et à attribuer à tel personnage ou à telle époque, sauf à être déjà expert en la matière numismatique.

Question d'ordre philosophique : dois-je les nettoyer pour les rendre lisibles, sachant que si je le fais, je fais aussi disparaître au moins 1500 ans d'histoire ?

Question d'ordre pratique : comment faire au mieux pour les rendre lisibles sans les abimer, en respectant leur histoire ?

JCE studiañ

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"Ne te borne pas seulement à respirer avec l'air qui t'environne, mais à penser désormais avec l'intelligence qui environne tout. La force intelligente, en effet, n'est pas moins répandue partout, et ne s'insinue pas moins, en tout être capable de s'en pénétrer, que l'air en tout être qui peut le respirer".

Marc-Aurèle. Pensées pour moi-même. Livre VIII; verset LIV".

Sujet: Re: Le nettoyage des pièces anciennes Sam 20 Mar 2010 - 8:00

Salut Jean-Claude,
Ne pourrais-tu contacter une association de numismates ?
Sauf changements récents, il y a à Nantes la Société bretonne de Numismatique et d'Histoire. Le président est nantais. Ce sont des experts (l'un des animateurs principaux est un chercheur professionnel, responsable du médaillier du Musée Dobrée).

Siège social à Vannes: 6, rue Texier La Houlle, 56000 Vannes

Publications: Annales
gg

Sujet: Re: Le nettoyage des pièces anciennes Sam 20 Mar 2010 - 10:47

Merci pour cette info.

Elle m'a permis de découvrir un site intéressant concernant la Loire-Atlantique :

http://culture.loire-atlantique.fr/culture/jcms/cu_8547/le-medaillier-sigillographie-et-metrologie

Bien fait et très riche.

JCE

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"Ne te borne pas seulement à respirer avec l'air qui t'environne, mais à penser désormais avec l'intelligence qui environne tout. La force intelligente, en effet, n'est pas moins répandue partout, et ne s'insinue pas moins, en tout être capable de s'en pénétrer, que l'air en tout être qui peut le respirer".

Marc-Aurèle. Pensées pour moi-même. Livre VIII; verset LIV".