An hini a vale eeun,A gav atav ledan e hent.Celui qui marche droit trouve toujours son chemin large.Sur Academia celtica nous n'écrivons jamais directement en breton, je sais, ce n'est pas écrit, c'est juste un accord tacite entre nous.
Notre but est que des apprenants puissent nous suivre, nous lire et surtout nous comprendre. Beaucoup d'entre nous enseignent ou l'ont fait, ceci explique cela.
Si nous glissons parfois un mot de breton ou un quart de phrase - je sais, la règle n'est déjà pas respectée de manière systématique
ha da gentañ-penn par celle qui écrit ces lignes - , il s'agit normalement de quelque chose qui reste du domaine du compréhensible pour "l'invité curieux de base", histoire de lui apprendre encore un petit truc de plus, quoi !
Je souligne, mais vous l'avez constaté, qu'ici nous cherchons à aller au fond des choses [
klask ober zo moien bopred] et aimons comparer nos collectes et nos lectures, bref du terrain et de la bibliothèque, avec un jeu constant de va-et-vient et de comparaisons entre les deux. Tout ça s'est fait comme ça, assez naturellement.
Maintenant, pas de problème pour les messages privés
tout en breton si vous le désirez. Ici, nous les utilisons souvent pour indiquer, le plus COURTOISEMENT du monde, une faute, une erreur ou un oubli sur un post. Et je peux vous garantir que c'est très utile ! Histoire de présenter des choses
apeupre propr, kwa !
Dernière remarque : nous laissons à d'autres sites le soin de répondre aux problèmes de traductions des apprenants et plus encore et surtout toutes les querelles possibles d'orthographes, de chapelles... Le fait de ne pas voir ou connaître son interlocuteur, ou encore de ne pas forcément suivre ou comprendre son raisonnement (imprécis ou raccourci), conduit déjà parfois à suffisamment de malentendus, donc :
- Jean-Claude EVEN a écrit:
No politics. No religions. No business.
Ici chacun écrit comme il l'entend et traduit ensuite en précisant ou non s'il a actualisé l'écriture par exemple, mais toutes nos sources bibliographiques sont citées ainsi que les sources orales, à moins qu'elles n'émanent directement de nous (dans ce cas :
chez moi... ; ('ba') du-mañ...).
Sell aze / voilà !