Bonsoir,
Un sujet qui paraît être contemporain mais qui est vieux comme le monde.
Suétone disait de Jules César : "
le mari de toutes les femmes, et la femme de tous mes maris"
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Marie CHARANT, religieuse, infirmière, déléguée de la Croix-Rouge en 1944-45, qui a recueilli les corps des morts du maquis de Coat-Nevenez, en Pommerit-Jaudy, a écrit un ouvrage sur l'histoire de La Roche-Derrien, publié en 1952, par les Presses Bretonnes, de Saint-Brieuc.
A la page 166, traitant des surnoms donnés par les rochois à leurs congénères, elle dit ceci :
"
Deux femmes vivant ensemble et ne se quittant jamais étaient nommées : "Ar goukou hag hé evn (Le coucou et son oiseau), allusion au fait que le coucou dans son vol est souvent suivi d'un autre oiseau"
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En tout bien et tout respect, comme Marie Charant, qui en avait vu d'autres et des pires, on peut penser que ces deux femmes ne vivaient pas ensemble et sans jamais se quitter que pour ne s'échanger que des recettes de cuisine.
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Peut-on développer un fil sur ce sujet, sans troubler la tranquillité de personne ?
Merci d'avance
JCE
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"Ne te borne pas seulement à respirer avec l'air qui t'environne, mais à penser désormais avec l'intelligence qui environne tout. La force intelligente, en effet, n'est pas moins répandue partout, et ne s'insinue pas moins, en tout être capable de s'en pénétrer, que l'air en tout être qui peut le respirer".
Marc-Aurèle. Pensées pour moi-même. Livre VIII; verset LIV".
Hier à 11:44 par Marc'heg an Avel
